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Petits enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui pratique la justice est juste, comme lui-même est juste.

Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable.

Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu'il est né de Dieu.

10 C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère.

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Petits enfants, que personne ne vous égare. Celui qui pratique la justice est juste comme Christ lui-même est juste. Celui qui pratique le péché est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Or, c’est pour détruire les œuvres du diable que le Fils de Dieu est apparu.

Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui et il ne peut pas pécher, parce qu'il est né de Dieu. 10 C'est à cela que l’on reconnaît les enfants de Dieu et les enfants du diable: celui qui ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, tout comme celui qui n'aime pas son frère.

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Mes enfants, que personne ne vous trompe sur ce point : est juste celui qui fait ce qui est juste, tout comme Christ lui-même est juste. Celui qui commet le péché est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Or, le Fils de Dieu est précisément apparu pour détruire les œuvres du diable. Celui qui est né de Dieu ne pèche pas, car la vie[a] qui vient de Dieu a été implantée en lui et demeure en lui. Il ne peut pas pécher[b], puisqu’il est né de Dieu.

10 C’est ainsi que se manifeste la différence entre les enfants de Dieu et les enfants du diable : celui qui ne fait pas ce qui est juste n’est pas de Dieu, pas plus que celui qui n’aime pas son frère.

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Footnotes

  1. 3.9 Il pourrait s’agir soit de la Parole (voir Jc 1.21 ; 1 P 1.23) soit de l’Esprit de Dieu, puissance de vie (Jn 3.5).
  2. 3.9 Jean n’enseigne pas que le chrétien ne peut plus pécher et qu’il est devenu parfait (voir 1.8, 10). Certains soulignent que Jean procède par oppositions radicales (lumière/ténèbres, vérité/mensonge, Christ/antichrist) et que notre régénération, notre naissance de Dieu, n’est pas encore achevée (Ga 4.19). Il est aussi possible de comprendre ces formules comme se référant à une impossibilité morale. Autrement dit : celui qui est né de Dieu ne doit pas pécher.