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La tentation et la chute

Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs, que l’Eternel Dieu avait faits. Il dit à la femme: Dieu a-t-il réellement dit: Vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin? La femme répondit au serpent: Nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit: Vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous ne mouriez. Alors le serpent dit à la femme: Vous ne mourrez point; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme Dieu[a], connaissant le bien et le mal.

La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence; elle prit de son fruit, et en mangea; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea.

Les yeux de l’un et de l’autre s’ouvrirent, ils connurent qu’ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s’en firent des ceintures.

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Footnotes

  1. Genèse 3:5 Seg. comme des dieux

La rupture de l’alliance

Le Serpent[a] était le plus astucieux[b] de tous les animaux des champs que l’Eternel Dieu avait faits. Il demanda à la femme : Vraiment, Dieu vous a dit : « Vous n’avez pas le droit de manger du fruit de tous les arbres du jardin ! » ?

La femme répondit au Serpent : Nous mangeons des fruits des arbres du jardin, mais celui qui est au milieu du jardin Dieu a dit de ne pas manger de son fruit et de ne pas y toucher sinon nous mourrons.

Alors le Serpent dit à la femme : Mais pas du tout ! Vous ne mourrez pas ! Seulement Dieu sait bien que le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront et vous serez comme Dieu, décidant vous-mêmes ce qui est bien ou mal[c].

Alors la femme vit que le fruit de l’arbre était bon à manger, agréable aux yeux, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence. Elle prit donc de son fruit et en mangea. Elle en donna aussi à son mari qui était avec elle, et il en mangea[d]. Alors les yeux de tous deux s’ouvrirent et ils se rendirent compte qu’ils étaient nus. Ils se firent donc des pagnes en cousant ensemble des feuilles de figuier.

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Footnotes

  1. 3.1 Voir Ap 12.9 ; 20.2.
  2. 3.1 Jeu de mots en hébreu avec le terme traduit « nus » (2.25).
  3. 3.5 D’autres comprennent : connaissant le bien et le mal.
  4. 3.6 Allusion en 2 Co 11.3 ; 1 Tm 2.14.