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14 Tu perces de tes traits la tête de ses chefs,
Qui se précipitent comme la tempête pour me disperser,
Poussant des cris de joie,
Comme s’ils dévoraient déjà le malheureux dans leur repaire.
15 Avec tes chevaux tu foules la mer,
La boue des grandes eaux.

16 J’ai entendu… Et mes entrailles sont émues.
A cette voix, mes lèvres frémissent,
Mes os se consument,
Et mes genoux chancellent:
En silence je dois attendre le jour de la détresse,
Le jour où l’oppresseur marchera contre le peuple.

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