Add parallel Print Page Options

Voici, même les navires, qui sont si grands et que poussent des vents impétueux, sont dirigés par un très petit gouvernail, au gré du pilote.

De même, la langue est un petit membre, et elle se vante de grandes choses. Voici, comme un petit feu peut embraser une grande forêt.

La langue aussi est un feu; c'est le monde de l'iniquité. La langue est placée parmi nos membres, souillant tout le corps, et enflammant le cours de la vie, étant elle-même enflammée par la géhenne.

Toutes les espèces de bêtes et d'oiseaux, de reptiles et d'animaux marins, sont domptés et ont été domptés par la nature humaine;

mais la langue, aucun homme ne peut la dompter; c'est un mal qu'on ne peut réprimer; elle est pleine d'un venin mortel.

Read full chapter

Voyez aussi les bateaux: même très grands et poussés par des vents impétueux, ils sont conduits par un tout petit gouvernail là où le pilote le veut. De même, la langue est un petit membre et elle peut se vanter de grandes choses. Voyez comme un petit feu peut embraser une grande forêt! La langue aussi est un feu, c'est le monde de la méchanceté. [Ainsi,] la langue se trouve parmi nos membres; elle souille tout notre corps et enflamme le cours de notre existence, étant elle-même enflammée par l'enfer.

Toutes les espèces de bêtes, d'oiseaux, de reptiles et d'animaux marins peuvent être domptées et ont été domptées par l'homme. La langue en revanche, aucun homme ne peut la dompter; c'est un mal qu'on ne peut pas maîtriser, elle est pleine d'un venin mortel.

Read full chapter

Pensez encore aux bateaux : même s’il s’agit de grands navires et s’ils sont poussés par des vents violents, il suffit d’un tout petit gouvernail pour les diriger au gré du pilote. Il en va de même pour la langue : c’est un petit organe, mais elle se vante de grandes choses. Ne suffit-il pas d’un petit feu pour incendier une vaste forêt ? La langue aussi est un feu ; c’est tout un monde de mal. Elle est là, parmi les autres organes de notre corps, et contamine notre être entier. Allumée au feu de l’enfer, elle enflamme toute notre existence.

L’homme est capable de dompter toutes sortes de bêtes sauvages, d’oiseaux, de reptiles, d’animaux marins, et il les a effectivement domptées. Mais la langue, aucun homme ne peut la dompter. C’est un fléau impossible à maîtriser ; elle est pleine d’un venin mortel.

Read full chapter