Grandeur de Dieu et de l’homme

Au chef de chœur. Un psaume de David, (à chanter avec accompagnement) de la harpe de Gath[a].

Eternel, notre Seigneur,
que ta gloire est admirable |sur la terre tout entière !

Au-dessus du ciel, |on célèbre ta splendeur[b].
De la bouche des petits enfants |et des nourrissons,
tu fais jaillir la louange[c] |à l’encontre de tes adversaires,
pour imposer le silence |à l’ennemi plein de hargne.

Quand je contemple le ciel |que tes doigts ont façonné,
les étoiles et la lune |que tes mains ont disposées,
je me dis : Qu’est-ce que l’homme, |pour que tu en prennes soin,
et qu’est-ce qu’un être humain |pour qu’à lui tu t’intéresses[d] ?
Pourtant, tu l’as fait |de peu inférieur à Dieu[e],
tu l’as couronné |de gloire et d’honneur.
Tu lui donnes de régner |sur les œuvres de tes mains.
Tu as tout mis sous ses pieds :
tout bétail, gros ou petit,
et les animaux sauvages,
tous les oiseaux dans les airs |et les poissons de la mer,
tous les êtres qui parcourent |les sentiers des mers.

10 Eternel, notre Seigneur,
que ta gloire est admirable |sur la terre tout entière.

Footnotes

  1. 8.1 Sens incertain. On pense qu’il s’agit soit d’une harpe de Gath, la ville de Philistie, soit d’un chant de vendange et de pressoir (voir Ps 81.1 et 84.1).
  2. 8.2 Hébreu obscur.
  3. 8.3 D’après les versions anciennes ; cf. Mt 21.16, qui cite ce texte sous cette même forme. Texte hébreu traditionnel : tu as fondé ta force.
  4. 8.5 Voir 144.3 ; Jb 7.17-18. Les v. 5-7 sont cités en Hé 2.6-8 ; le v. 7 en 1 Co 15.27 ; Ep 1.22.
  5. 8.6 Autre traduction : inférieur aux êtres célestes.

Accablé par la maladie et le péché

38 Un psaume de David, pour se rappeler au souvenir de Dieu.

Eternel, dans ta colère, |ne me punis pas,
et, dans ton indignation, |ne me châtie pas !
Vois : tes flèches m’ont atteint,
ta main m’a frappé :
en mon corps, |plus rien n’est intact |sous l’effet de ta colère,
dans mes membres, rien n’est sain, |mon péché en est la cause.
Je suis submergé |par mes fautes,
elles sont un poids |bien trop lourd pour moi.
Mes plaies infectées suppurent :
ma folie en est la cause.
Triste, accablé, abattu,
je me traîne tout le jour,
je sens un feu dans mes reins,
plus rien n’est intact en moi.
Je suis à bout, écrasé,
j’ai le cœur en désarroi, |je ne cesse de gémir.

10 Eternel, tous mes désirs |je te les ai présentés,
et tous mes soupirs |sont connus de toi.
11 Mon cœur bat violemment |et mes forces m’abandonnent,
mes yeux ont perdu |toute leur lumière.
12 Ma plaie écarte de moi |mes amis, mes compagnons,
ceux qui me sont les plus proches |restent loin de moi.
13 Ceux qui veulent me tuer |m’ont tendu des pièges,
ceux qui cherchent mon malheur |parlent pour me nuire,
ils murmurent des mensonges |à longueur de jour.
14 Pourtant, moi je fais le sourd |pour ne pas entendre,
je reste la bouche close |comme si j’étais muet.
15 Je suis comme un homme |qui ne peut entendre
et ne répond pas.
16 Car c’est sur toi, Eternel, |que je compte.
Tu me répondras, |ô Seigneur, mon Dieu.
17 J’avais demandé : |« Qu’ils ne puissent pas |rire de mon sort,
s’exalter à mes dépens |lorsque je chancelle. »
18 Me voici près de tomber,
ma douleur est toujours là.
19 Oui, je reconnais ma faute,
mon péché m’angoisse,
20 alors que mes ennemis |sont pleins de vie, pleins de force,
et qu’ils sont nombreux |à me haïr sans raison.
21 Ceux qui me rendent le mal |pour le bien que j’accomplis
me font le reproche |de vouloir chercher le bien.

22 Eternel, |ne me laisse pas,
ô mon Dieu, |ne te tiens pas loin de moi !
23 Viens en hâte à mon secours,
toi mon Seigneur, mon Sauveur !

Le triomphe du Dieu victorieux

68 Au chef de chœur. Psaume de David. A chanter. Cantique.

Que Dieu se lève ! |Et voici : ses adversaires |sont dispersés !
Ses ennemis |fuient devant lui[a].
Tu les dissipes[b] |comme une fumée se dissipe,
comme la cire |qui fond au feu !
Ainsi périssent devant Dieu |tous les méchants.
Alors les justes |se réjouiront,
et ils seront |dans l’allégresse devant Dieu.
Oui, ils seront remplis de joie.
Chantez à Dieu ! |Louez-le par vos chants !
Frayez la voie |de celui qui chevauche les nuées[c] !
Son nom est « l’Eternel ».
Exultez de joie devant lui !
Il est le père |des orphelins, |le défenseur des veuves.
Oui, tel est Dieu |dans sa sainte demeure.
Dieu accorde aux gens seuls |une famille.
Il donne aux prisonniers |de sortir libres, dans la joie.
Seuls les rebelles |sont confinés |dans un désert aride.
O notre Dieu, |quand tu sortis |en tête de ton peuple[d],
quand tu marchas |dans le désert,
            Pause
la terre alors trembla[e], |le ciel fondit en eau, |devant Dieu, le Dieu du mont Sinaï,
devant Dieu, le Dieu d’Israël.
10 Tu répandis, ô Dieu, |une pluie bienfaisante
pour affermir le peuple[f] |qui t’appartient |alors qu’il était épuisé.
11 Ton peuple habite dans le lieu
que tu as préparé, |ô Dieu, dans ta bonté,
pour que les pauvres s’y installent.
12 Le Seigneur dit un mot,
et aussitôt les messagères |d’une bonne nouvelle |font une armée nombreuse[g].
13 Les rois des armées ennemies
s’enfuient et c’est la débandade.
Celles qui sont restées |à la maison
partagent le butin.
14 Allez-vous rester au repos |auprès des bergeries[h] ?
Les ailes de la colombe sont argentées
et son plumage est jaune d’or[i].
15 Lorsque le Tout-Puissant |y dispersa les rois,
il neigeait sur le mont Tsalmôn[j].

16 Vous, montagnes sublimes, |monts du Basan[k],
monts aux cimes nombreuses, |monts du Basan,
17 pourquoi jalousez-vous, |monts aux cimes nombreuses,
le mont choisi par Dieu |pour résidence[l] ?
Néanmoins l’Eternel |y habitera pour toujours.
18 Les chars de Dieu |sont innombrables,
il y en a des milliers |et des milliers[m],
et l’Eternel |est parmi eux.
Il est venu |du Sinaï |jusqu’à son sanctuaire[n].
19 Tu es monté sur la hauteur, |tu as emmené des captifs.
Et tu as prélevé des dons[o] |parmi les hommes,
et même parmi les rebelles, |pour ta demeure, |Eternel Dieu.
20 Béni soit le Seigneur |jour après jour,
car il nous prend en charge, |ce Dieu qui est notre sauveur.
            Pause
21 Dieu est pour nous |un Dieu qui sauve !
L’Eternel, le Seigneur, |peut nous délivrer de la mort.
22 Mais Dieu fracassera |le crâne de ses ennemis,
la tête chevelue |des hommes dont la conduite est coupable.
23 Le Seigneur a déclaré : des monts du Basan, |je les ramènerai,
je les ramènerai |des profondeurs marines,
24 afin que tu baignes tes pieds |dans le sang de ses ennemis,
et que tes chiens |prennent leur part à la curée.

25 On voit arriver ton cortège, ô Dieu,
oui, le cortège |de mon Dieu, mon Roi, |dans le lieu saint[p].
26 Les chanteurs sont en tête, |les musiciens en queue,
ils viennent au milieu |de jeunes filles, |battant du tambourin.
27 Bénissez Dieu |dans vos rassemblements,
bénissez le Seigneur, |vous, issus d’Israël[q] !
28 En tête marche Benjamin, |le plus petit,
puis les chefs de Juda, |avec leurs grandes troupes,
les chefs de Zabulon |et ceux de Nephtali[r].

29 Ton Dieu a décidé |de te prodiguer de la force[s].
Veuille accomplir avec puissance, |ô Dieu, |tes œuvres envers nous,
30 depuis ton sanctuaire |qui domine Jérusalem !
Des rois t’y apporteront leurs présents.
31 Menace-le, |le crocodile |qui se tapit parmi les joncs,
de même que le troupeau des taureaux, |avec les veaux des peuples,
et qu’ils viennent se prosterner |en offrant leurs lingots d’argent.
Disperse-les, ces peuples |aimant la guerre !
32 De nobles messagers[t] |arrivent de l’Egypte,
les Ethiopiens accourent, |les mains tendues vers Dieu.

33 Royaumes de la terre, |chantez à Dieu !
Louez le Seigneur par vos chants !
            Pause
34 Oui, chantez en l’honneur |de celui qui chevauche dans les cieux, |les cieux antiques,
et qui fait résonner sa voix, |une voix éclatante.
35 Proclamez de Dieu la puissance !
Il est majestueux |au-dessus d’Israël,
et sa puissance éclate |dans les nuées.
36 Que tu es redoutable, ô Dieu, |depuis ton sanctuaire !
Lui, il est le Dieu d’Israël |et il donne à son peuple |force et puissance.
Béni soit Dieu !

Footnotes

  1. 68.2 Voir Nb 10.35.
  2. 68.3 Les versions anciennes ont : ils se dissipent.
  3. 68.5 Le mot hébreu qui signifie plaines peut être rapproché d’un terme assyro-babylonien qui signifie nuages. L’expression celui qui chevauche les nuées se retrouve à Ougarit. Dieu est comparé à un chef d’armée qui chevauche à la tête de ses troupes et auquel, selon l’habitude antique, on prépare le chemin pour en ôter tout obstacle (Es 40.3). Les v. 1-18 décrivent la marche triomphale de Dieu, du Sinaï (sous Moïse) au mont Sion (sous David).
  4. 68.8 Les v. 8-9 reprennent en partie le cantique de Débora (Jg 5.4-5).
  5. 68.9 Voir Ex 19.18.
  6. 68.10 D’autres comprennent : le pays.
  7. 68.12 Il s’agit de la foule des femmes annonçant la bonne nouvelle de la victoire de Dieu sur les habitants de Canaan (voir Ex 23.22-23, 27-28, 31 ; Dt 7.10-24 ; etc.).
  8. 68.14 auprès des bergeries : autre traduction : dans vos foyers.
  9. 68.14 Il s’agit, selon certains, des enseignes des armées au combat, selon d’autres, du butin dont on dresse l’inventaire. Selon d’autres encore, il pourrait s’agir de l’oiseau voyageur qui apporte la nouvelle de la victoire.
  10. 68.15 Selon certains, une montagne près de Sichem (Jg 9.46-48), selon d’autres, le djebel Druze, un mont volcanique à l’est du Basan, au nord-est du lac de Galilée.
  11. 68.16 Situé à l’est de la mer de Galilée, avec ses montagnes imposantes aux parois de basalte et aux nombreux sommets.
  12. 68.17 C’est-à-dire le mont Sion.
  13. 68.18 Voir 2 R 6.17 ; Ha 3.8, 15.
  14. 68.18 Texte difficile. Autre traduction : le Seigneur est parmi eux et le Sinaï dans le sanctuaire.
  15. 68.19 La version syriaque a : tu as fait des dons aux hommes. La citation de ce verset en Ep 4.8 contient la même idée.
  16. 68.25 Autre traduction : parmi le peuple saint.
  17. 68.27 L’hébreu a : la source d’Israël, ce qui pourrait aussi s’appliquer au sanctuaire (voir Za 13.1).
  18. 68.28 Selon un manuscrit hébreu. Le sens du texte hébreu traditionnel est obscur.
  19. 68.29 Certains traduisent d’après quelques manuscrits hébreux, l’ancienne version grecque et la version syriaque : manifeste ta force, ô Dieu.
  20. 68.32 D’après les versions anciennes. Hébreu de sens incertain.

Dieu vient juger le monde

98 Psaume.

Chantez à l’Eternel |un cantique nouveau
car il accomplit des prodiges.
Par sa puissance, |par son pouvoir divin, |il a remporté la victoire.
L’Eternel fait connaître son salut ;
aux yeux des autres peuples, |il a révélé sa justice.
L’Eternel a manifesté |son amour fidèle envers Israël.
Jusqu’au bout de la terre,
on a vu le salut |que notre Dieu a accompli.

Acclame l’Eternel, |ô terre tout entière,
poussez des cris de joie |et d’allégresse |au son de la musique !
Célébrez l’Eternel |avec la lyre,
oui, au son de la lyre, |et par vos chants !
Au son de la trompette |et aux accents du cor[a],
éclatez en acclamations |en présence de l’Eternel, le Roi !
Que la mer retentisse |et tout ce qui la peuple !
Que l’univers résonne |avec ses habitants !
Que les rivières |battent des mains,
que les montagnes, |à l’unisson, |chantent de joie,
aux yeux de l’Eternel, |car il vient gouverner[b] la terre !
Oui, il gouvernera le monde |selon ce qui est juste,
et il gouvernera les peuples |selon ce qui est droit.

Footnotes

  1. 98.6 La trompette droite en argent était utilisée par les seuls prêtres ; c’est la seule mention de cet instrument dans les Psaumes. Le cor était fait d’une corne de bélier (cf. 47.6 ; 81.4 ; 150.3). Cor et clameur retentissaient à la guerre (Jos 6.1-5) et dans les cérémonies religieuses (Nb 29.1). Ils annonçaient aussi le Règne de Dieu (So 1.16).
  2. 98.9 Voir Ps 82.8 et la note.

Que l’Eternel te bénisse !

128 Cantique pour la route vers la demeure de l’Eternel[a].

Heureux es-tu, |toi qui crains l’Eternel
et qui suis les chemins |qu’il a tracés !
Tu tireras profit |du travail de tes mains,
tout ira bien pour toi |et tu seras heureux.
Dans ton foyer, ta femme
sera comme une vigne |chargée de nombreux fruits
et, autour de ta table,
tes fils seront tels des plants d’olivier.
C’est ainsi que sera béni
un homme qui craint l’Eternel.

Oui, l’Eternel te bénira |depuis le mont Sion,
et tu contempleras |le bonheur de Jérusalem
tous les jours de ta vie,
tu verras les enfants |de tes enfants !

Que la paix soit sur Israël !

Footnotes

  1. 128.1 Voir note 120.1.

Le poème de la Sagesse

Ecoutez : la Sagesse appelle,
la raison élève la voix[a].
Elle est postée sur les hauteurs, |le long des routes,
aux carrefours.
Tout près des portes de la ville,
là où l’on passe pour entrer, |elle fait retentir sa voix :
« C’est chacun de vous que j’appelle,
c’est pour vous, les humains, que ma voix se fait entendre,
à vous, qui manquez d’expérience : |apprenez donc à réfléchir ;
et à vous, insensés : |devenez donc intelligents !
Ecoutez-moi, car j’ai à dire |des choses capitales,
et ce sont des paroles justes |qui franchiront mes lèvres.
Oui, ma bouche proférera |la vérité,
le mal fait horreur à mes lèvres,
et mon palais proclamera |uniquement ce qui est juste.
Il n’y a pas de fourberie, |rien de retors dans mes paroles,
elles sont toutes justes |pour qui comprend les choses,
elles sont droites |pour qui trouve la connaissance.
10 Recherchez mon éducation |plutôt que de l’argent,
et choisissez la connaissance |plutôt que l’or, l’or le plus pur.
11 Car la sagesse est préférable |aux perles précieuses,
et les biens les plus désirables |ne sauraient l’égaler[b].
12 Moi, je suis la Sagesse, |j’habite à côté de la réflexion,
j’ai découvert l’art de penser.
13 Lorsqu’on craint l’Eternel, |on déteste le mal.
Je déteste l’orgueil, |la suffisance, |la conduite mauvaise
et la bouche menteuse.
14 C’est à moi qu’appartiennent |le conseil et la réflexion.
Je suis l’intelligence |et possède la force.
15 C’est par moi que règnent les rois,
et que les dirigeants |décrètent des lois justes.
16 Par moi gouvernent tous les chefs,
tous les hommes d’Etat |et tous les magistrats sur terre.
17 Moi, j’aime ceux qui m’aiment,
et ceux qui me recherchent |ne manquent pas de me trouver.
18 Je suis accompagnée |de la richesse et de l’honneur,
de biens durables, de la justice.
19 Mon fruit est plus précieux que l’or,
oui, même que l’or le plus fin,
et les profits que je rapporte |valent mieux qu’un argent de choix.
20 Je marche sur la voie de la justice
et je suis les sentiers |de l’équité,
21 pour combler de biens ceux qui m’aiment
et remplir leurs trésors.

22 L’Eternel m’a donné naissance[c] |tout au début de son activité
et avant d’entreprendre |les plus anciennes de ses œuvres.
23 Oui j’ai été formée |dès les temps éternels,
bien avant que la terre fût créée.
24 J’ai été enfantée |avant que l’océan existe
et avant que les sources |aient fait jaillir |leurs eaux surabondantes.
25 Avant que les montagnes |aient été établies,
avant que les collines |soient apparues, |j’ai été enfantée.
26 Dieu n’avait pas encore |formé la terre et les campagnes
ni le premier grain de poussière |de l’univers.
27 Moi, j’étais déjà là |quand il fixa le ciel
et qu’il traça un cercle |autour de la surface |du grand abîme.
28 Et quand il condensa |les nuages d’en haut,
quand il fit jaillir avec force |les sources de l’abîme,
29 et quand il assigna |à la mer des limites
pour que ses eaux |ne les franchissent pas,
quand il détermina |les fondements du monde,
30 je me tenais |bien fermement à ses côtés[d],
me livrant sans cesse aux délices[e],
et jouant en tout temps |en sa présence.
31 Je jouais sur sa terre |dans le monde habité,
et trouvais mes délices |dans les êtres humains.
32 Maintenant donc, mes fils, |écoutez-moi :
heureux tous ceux qui suivent |les voies que je prescris !
33 Ecoutez mes leçons, |et vous deviendrez sages.
Ne les négligez pas !
34 Car : heureux l’homme qui m’écoute,
qui vient veiller à mes portes |jour après jour,
et qui monte la garde |devant l’entrée de ma maison.
35 Car celui qui me trouve |a découvert la vie,
il obtient la faveur |de l’Eternel.
36 Mais il se fait tort à lui-même, |celui qui me désobéit[f] :
tous ceux qui me haïssent |aiment la mort. »

Footnotes

  1. 8.1 Voir 1.20.
  2. 8.11 Voir 2.4.
  3. 8.22 Autres traductions : me possédait ou m’a établie. D’autres comprennent : m’a acquise ou m’a créée.
  4. 8.30 Autre traduction : Je me tenais à ses côtés comme son maître d’œuvre.
  5. 8.30 Autre traduction : faisant sans cesse ses délices.
  6. 8.36 Autre traduction : me rate.