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L'une de ses têtes était comme blessée à mort, mais sa blessure mortelle fut guérie. Remplie d'admiration, la terre entière suivit alors la bête. On adora le dragon parce qu'il avait donné l’autorité à la bête; on adora aussi la bête en disant: «Qui est semblable à la bête et qui peut combattre contre elle?»

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L’une de ses têtes semblait avoir reçu un coup mortel, comme si elle avait été égorgée. Mais la blessure dont elle aurait dû mourir fut guérie. Là-dessus, le monde entier, rempli d’admiration, se rangea derrière la bête.

Les peuples adorèrent le dragon, parce qu’il avait donné son pouvoir à la bête. Ils adorèrent aussi la bête, en disant : « Qui est semblable à la bête ? Qui peut combattre contre elle ? »

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